A entendre les animateurs de la séance de sensibilisation qui s’est tenue hier au complexe Al Rahma, la micro finance islamique est conçue comme un ensemble de mesures d’accompagnement en vue de promouvoir l’inclusion financière, économique et sociale des clientèles potentielles longtemps exclues du système bancaire classique.

L’Agence djiboutienne de développement social (ADDS) a organisé hier, au complexe Al Rahma, une journée d’information  sur la micro finance islamique. Le public-cible était composé des femmes et hommes issus du quartier de Warabeley dans la commune de Balbala. Les unes et les autres ont écouté d’une oreille attentive les explications du chef de service de l’unité pilote de micro finance islamique de l’ADDS, Ahmed Amin, et les membres de son staff technique sur les avantages comparatifs de cette finance alternative. Et ce, faut-il ajouter, en présence du président de la commune de Balbala, Youssouf Nouho Hassan.

A entendre les animateurs de la séance de sensibilisation, la micro finance islamique est conçue comme un ensemble de mesures d’accompagnement en vue de promouvoir l’inclusion financière, économique et sociale des clientèles potentielles longtemps exclues du système bancaire classique.

De leur côté, les habitants de Warabeley semblaient s’intéresser aux opportunités de financements de la micro finance islamique dans la mise en place des activités génératrices de revenu. Leurs interlocuteurs de l’ADDS l’ont bien compris.

A commencer par le responsable de l’unité pilote qui a évoqué un exemple concret tiré de son vécu professionnel. Il a mis en évidence les impacts des apports financiers de la micro finance islamique dans l’amélioration des conditions de vie d’un bon nombre de clients au quartier de Hayableh, sis à la périphérie de la capitale.